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Panique au Plazza

Il est 22h, un soir de septembre, dans une suite de l’hôtel Plazza à paris, le ministre de l’exclusion et du dialogue social y retrouve sa maîtresse. Soudain, il découvre un corps sous la grande fenêtre à l’américaine. Dès lors, le couple n’aura de cesse de dissimuler sa coupable relation et ce corps très embarrassant.

Le noir te va si bien

« Le noir te va si bien » raconte les dangers d’un mariage explosif ! Un inquiétant manoir, perché sur une falaise vertigineuse, dans le comté de Sussex, c’est à dire juste en face de la côte française, de l’autre côté du Pas-de-Calais. Là, une maîtresse de maison aux nerfs à vif ; son compagnon, un garçon bizarre ; sa fille, une cleptomane… et sa soeur, Lady Lucy, une femme séduisante, mais dont la vie semble receler d’effrayants mystères … et un visiteur, le colonel Mac Lesby, dont la bonhomie, la jovialité ne peuvent entièrement cacher des instincts de grand fauve … et puis un agent immobilier et deux domestiques qui n’ont l’air de rien, et peut-être ne sont-ils rien, effectivement… Peut-être.

La Brune que Voilà

S’agit-il d’une pièce auto-biographique, d’une revanche des brunes sur les blondes? En vérité, si avec la célèbre dramaturge américaine Anita LOES, « Les hommes préfèrent les blondes « , le personnage principal de cette comédie de Robert LAMOUREUX, préfère les brunes après une déception amoureuse !

On assiste à une série de duos, pour ne pas dire de duels, entre Germain et « ses » brunes et à un drôle de ménage à 9, si l’on compte les maris trompés de ces  » belles  » !
Germain, si désinvolte, si sûr de lui en affaires, devient faible devant les femmes. Il ne veut pas rompre pour ne pas faire de peine. Il a ainsi quatre maîtresse à la fois, ce qui va énormément compliquer sa vie lorsque survient « la tuile »!
Et comme il faut une morale à chaque histoire, le final sera à la hauteur de nos espérances.

Le grand zèbre

Ce soir, par contre, le héros que nous vous proposons est un être d’exception.
En effet, pouvez-vous imaginer, Madame, un homme incapable de rester plus d’un certain temps avec la même femme ? Cela est-il concevable ? Non ! En dehors du théâtre, bien sûr.
C’est pourquoi nous espérons que vous prendrez plaisir, sans arrière pensée, aux aventures de Christian, songeant, qu’il s’agit d’un malade et que vous ne nous en voudrez pas d’avoir pu supposer un instant qu’il puisse exister des femmes dont le charme, la grâce, les attraits, la persuasion, la rouerie, en un mot tous les artifices inhérents à leur sexe, s’avèrent impuissants à retenir l’homme au foyer.
Quant à vous, Monsieur, à qui ce texte n’est pas destiné mais qui, néanmoins, l’avez peut-être lu, ne rêvez pas : l’événement auquel vous allez assister doit rester du domaine de la fiction. Et puis, pourquoi changeriez-vous, n’avez-vous pas choisi la compagne idéale ?
C’est, pour terminer, la grâce que nous vous souhaitons.

L’Emprunt Russe

L’emprunt russe est une comédie de deux nouveaux auteurs boulonnais, la première production de deux passionnés. Monter une création 100%boulonnaise, du texte au décor en passant par les costumes est un challenge enthousiasmant. Dominique Ghesquière et Pascal Chivet ont choisi de divertir le public en lançant un clin d’œil à un style théatral du début du siècle(le vaudeville) qui a caricaturé des relations sociales étriquées, en usant du principe des quiproquo et de la technique de l’aparté. On retrouve ainsi, dans l’Emprunt russe tous les ingrédients du vaudeville traditionnel revisité par des auteurs à l’aube du 3e millénaire… Et pour rendre cette atmosphère  » folle  » de ces années 1900, j’ai choisi de privilégier la lumière, la couleur et le mouvement.
Philippe Harbart