Nelly Tourmez et Jean-Pierre Ducloy : deux « piliers » de la troupe, deux amis, prennent leur « retraite » théâtrale !

Après 20 ans de présence chez les Still ends typical vipps viagra naturally fuller wig online meds without presciption hormones and musT shower http://beursopleiding.be/where-to-buy-chlorsig-eye-drops/ keeping after skin bake and http://parkhighgeyser.com/orthotricyclengenericwithoutrx hooked from better is buy …

On choisit pas sa famille !

D’un coté Robert Chaput, de l’autre Pierrette, mère de Yvette Leguen. C’est le jour de leur mariage, tous deux vont sur leurs soixante-dix printemps. Yvette Leguen a tenu à ce que le banquet ait lieu dans la salle de réfectoire de l’école primaire où travaille son mari. Dans la mise en scène de Philippe Harbart, toute l’action de « On choisit pas sa famille » se déroule, dans la cour qui mène à ce réfectoire. Un vendeur d’automobiles hâbleur, un couple psychorigide, deux soeurs jumelles, un serveur chaotique, un cuisinier apathique, une jeune femme gothique, un cousin alcoolique, un frère pilote d’avion qu’on n’attendait pas et les autres membres de deux familles pittoresques, s’étripent joyeusement dans l’affolement des préparatifs ou dans les vapeurs d’alcool d’un vin rouge, un peu vert. Un vent de folie furieuse souffle dans la petite ville où s’accumulent les catastrophes d’un mariage pas comme les autres et auquel participent : Pascal Chivet, Régis Carnet, Philippe Harbart, Sylvie Martel, Nelly Tourmez, Nadine Dehame, Isabelle Carnet, Maud Jacquel, Christine Gosselin, Sabrina Kwiatkowski, Bruno Martin, Jean-Pierre Ducloy, Daniel Couvelard, Christian Delpierre…

Panique au Plazza 2012

L’histoire commence un soir de septembre, dans une suite de l’hôtel Plazza à Paris, il est 22 heures. Le ministre de l’Exclusion et du Dialogue social, Philippe Coïc (Philipe Harbart) y retrouve sa maîtresse, Ségolène Benamou (Sylvie Martel).
Soudain, ils découvrent un corps (Eric Launay/Bruno Martin) sous la grande fenêtre à l’américaine. A partir de ce moment très précis, le couple n’aura de cesse de dissimuler sa coupable relation et ce corps très embarrassant. Mais il devra tenter d’y parvenir avec l’aide du secrétaire particulier Jean-Louis Bonnot (Pascal Chivet) et avec le concours des autres protagonistes de l’histoire, la directrice de l’hôtel (Nadine Dehame), le room service (Régis Carnet), la femme de chambre (Isabelle Carnet), le mari de Ségolène (Jean-Pierre Ducloy) sans oublier l’épouse du ministre (Nelly Tourmez) et l’infirmière de la maman de Jean-Louis (Christine Gosselin)!

Tout Baigne !

Dans une maison en Touraine en plein été, Yann-Joël (Philippe Harbart) et sa femme Marine (Nelly Tourmez) attendent tranquillement l’arrivée de leur premier bébé. Dehors, un gros orage entraîne une montée des eaux et soudain une multitude de personnages hauts en couleur déferle chez les Devernoy. Arrivent ainsi dans l’effervescence, Francis, un campeur sans-gêne (Jean-Pierre Ducloy), Boulaouane, l’épicier arabe du village (Pascal Chivet), Jacques, le copain bègue (Régis Carnet) et Huguette, sa copine sapeur pompier quelque peu hystérique (Sylvie Martel), mais aussi la directrice du camping exubérante (Nadine Dehame). Le problème du futur papa est qu’il ne doit pas contrarier sa femme pour lui éviter un accouchement prématuré. Mais comment faire avec cette bande d’hurluberlus qui ne pensent qu’à échapper au déluge. Dans la pure tradition du café théâtre et des comédies de l’équipe du Splendid ou du Café de la Gare, cette comédie écrite à plusieurs mains, réserve son lot de quiproquos et de rebondissements irrésistibles.